Ishimaru Amane
~†~ Vampire ~†~
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Date d'inscription : 12/03/2006
 | | Sujet: ~*~ Ishimaru Amane ~*~ Mar 14 Mar - 5:27 | |
| [Oui oui, je sais, ma présentation est longue... J'avais de l'inspiration, c'est tout...
Je profite de l'instant pour envoyer un kissu à ma sister ^_- MDR ]
Nom : Amane
Prénom : Ishimaru
Age : À ce jour, Ishimaru aurait du fêter ses 107 ans, il a pourtant cessé de porter attention à son âge à 29 ans, moment où il a été mordu.
Date de naissance : un 5 mai…
Race : vampire
Métier : écrivain, romancier
Arme : un katana traditionnel japonais, seul souvenir de ses origines
Pouvoir : pénétrer les pensées des hommes, tout comme des vampires, y voir toutes les peurs, les vices, les péchés.
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Physique : Au fil des années, Ishimaru à si souvent changé d’apparence qu’on ne lui en connaît pas de fixe, jouant avec le temps pour changer son image à l’extrême. Il y a pourtant un moment qu’il revêt fièrement de longs – que dis-je, très longs – cheveux où se mêlent l’argenté de la lune et le gris sombre des cendres refroidies. Encadré par cette cascade se trouve un visage plus effilé que rond, complété par des oreilles étrangement pointues, donnant un air elfique à ce singulier personnage. Ses yeux sont d’un gris profond, tirant légèrement sur le charbon, et souvent couverts par un monocle, qu’il porte plus par style que par besoin. Une bouche aux lèvres finement rosées, dont pend souvent une pipe, vient compléter le tout.
Parlons maintenant du corps de cet écrivain. Les épaules carrées, droites, souvent inclinées vers l’arrière d’une manière hautaine, serve de support à un corps qui n’en a pas vraiment besoin. Mince de taille comme de hanches, rient ne vient troubler la symétrie de ses formes ; de ses fins muscles, ses jambes longues, jusqu’au bout de ses doigts – dont les ongles ressemblent plus à des griffes qu’a quelque chose de commun.
Dans ses nombreuses expériences de vie, Ishimaru fit un jour la découverte d’un style vestimentaire d’une élégance que peu peuvent ignorer, mariant une simplicité éloquente à un art subtil et complexe. Il a adopté cette garde-robe sur-le-champ, et il ne s’en est pas encore débarrassé.
[Pour de plus amples imformations, culsultez le lien suivant : https://2img.net/h/i23.photobucket.com/albums/b384/momosh/Post02.jpg ]
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Caractère : Ah, Ishimaru… Je ne peux pas dire qu’il est un homme simple, loin de là… Il a une personnalité qui, à l’image de son apparence, change constamment… Cependant, quelques traits semblant s’être incrusté dans cet être.
Une galanterie qu’il veut à toutes épreuves. Comment un gentleman comme lui pourrait supporter d’importuner une dame – ou damoiseau, peut lui importe. Il se montre toujours poli, respectueux lors d’une première rencontre. Aimable, attentionné… Certes, il n’est pas très souriant, mais il ne donne pas de raisons de le lui reprocher. Il donne un peu l’ait d’un aristocrate.
Vient ensuite l’heure de la seconde rencontre – s’il le veut bien. Il reste stylisé, élégant, laissant derrière lui une impression de comte qu’il ne tente pas de cacher. Pourtant, quelques détails changent. Il démontre une plus grande curiosité, un désir de connaître ceux qui l’entourent. Laissant tomber quelques-unes unes de ses barricades, il peut se montrer plus brusque, les connaisseurs vous diront que ses mouvements sont moins fluides. Mais il ne faut pas s’inquiéter pour si peu… non ?
Hélas, toutes ces belles manières cachent – avec grande efficacité – l’homme qui forme réellement Ishimaru. Un monstre sanguinaire. Prêt à tout pour faire couler le sang, se délectant de la souffrance, de l’agonie des humains. Il ne justifie ces actes meurtriers que par un seul idéal : il fait cela pour l’art. Son inspiration, prétend-t-il, vient du sang. Pour écrire, il doit tuer. Pour créer, il doit tuer. Pour imaginer… Et, évidemment, rien ne peut faire obstacle à son art. Tous ceux qui se mettent en travers du chemin qu’emprunte sa créativité se retrouvent sous son sabre, ou sous ses crocs…
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Famille : Il y a longtemps que Ishimaru a prit son premier bain de sang, sang venant essentiellement de ses parents et de sa jeune sœur.
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Histoire : Tout commença par un certain 5 mai… Jour de bonheur, annonçant pourtant un grand malheur…
À quelques lieux de la grande Tokyo, ville du Japon, se dressait une plus modeste, mais au combien charmante, ville, Kyoto. C’est à cet endroit que naquit le grand bonheur des Amane. Leur premier enfant était un homme, quelle chance ! La famille prospèrerait, s’agrandirait, peut-être même se ferait-elle connaître ! Il y avait tant d’espoir dans le petit corps d’Ishimaru qu’il faillit en éclater… Si vous le voulez bien, passons rapidement en revue les premières années de la vie de ce fils…
Il apprenant vite, vivant dans un amour constant, avait à sa portée tout ce dont il avait besoin pour mener à bien sa vie. L’école pour lui devint rapidement facile, mais jamais ennuyante. Il se faisait si facilement des amis ! Les professeurs l’aimaient, sa réputation était belle, à peine entachée par quelques erreurs de jeunesse. Mais tout le monde en fait, non ? Tout allait bien pour lui. Il désirait ce que désiraient ses parents, à savoir de bonnes études, un travail qui lui plairait et lui donnerait un bon salaire, une femme qu’il aimerait, une famille qui ne tarderait pas à suivre. Quel blanc avenir, n’est ce pas ? Pourquoi tout devait-il noircir ? Dieu seul le sait.
Le premier problème survint quand Ishimaru avoua enfin ne rien ressentir envers les femmes. Aussi petit le péché était-il, ses parents en tombèrent des nues. Leur fils…aimait les hommes ? Il n’aurait donc pas d’enfants. Pas de famille. Pas d’avenir. Mais cette dernière affirmation, l’homme la reniait fortement. Il aurait une vie merveilleuse !
Pendant qu’il réalisait ses études supérieures, la famille accueillit un second enfant, une fille. Adorable, cette petite. Ishimaru ne la vit pas souvent, souhaitant s’en éloigner le plus possible. Pourquoi ? Jalousie ? Même s’il ne voulait pas l’accepter, s’en était. Pour nier le fait que ses parents l’avaient pratiquement oublié, il se jetait corps et âme dans sa passion – également sujet de ses études – les mots, l’écriture. Quel talent il avait ! Mais quel perfectionniste il était ! Ça en devenait presque insupportable… Jamais ses récits n’étaient à la hauteur, peu important le sujet utilisé. Il manquait quelque chose…de la profondeur.
Il comprit tout en entendant, en conférence, un des grands écrivains de ce monde, qui affirmait que les meilleurs récits étaient ceux que l’auteur avait vécu, ou du moins expérimenté. Cette idée lui resta en tête quelques temps, avant qu’il ne la remise dans un coin de sa mémoire.
Passons quelques années de sa vie maintenant. Il en reste que quelques soirées à couvrir à présent. Ishimaru savait depuis des lunes qu’il avait vendu son cœur aux hommes, aussi s’abandonnait-il souvent dans les bras de ces derniers. Il fit quelques erreurs, personne n’en est à l’abris. Mais il y avait eu cet homme, un être si particulier, qui dégageait une aura si différente de celles des humains normaux. Qu’était-il exactement ? Il le sut bien assez tôt, trop tôt pour échapper aux griffes de son amant. Il se disait possédé par le diable, mais son mal était bien pire. Il buvait du sang, s’en nourrissait, prenait la vie d’autres pour renforcer la sienne. Quelle horrible habitude… Le jeune écrivain ne s’aperçu de cette particularité que quant son heure fut venue.
29 ans. Dans une chambre d’hôtel. Dans les bras d’un homme. Mort. Enfin, pas vraiment… Par amour – ou par cruauté – le dit amant fit boire un peu de son sang à Ishimaru. Qui en revit. Possédé, à son tour, de ce mal qui le rongeait, de cette envie de sang.
Le nuit suivante fut la plus terrible – ou la plus jouissive – de toute sa vie. Il était retourné chez lui, à la demeure familiale. Un calepin à la main, il écrivait, se concentrait sur une histoire d’horreur, de meurtres qui le captivait. Puis, soudainement, l’inspiration le fuit, refusant de lui revenir. À la place vint s’immiscer dans son esprit un désir vibrant de goûter à du sang humain – ce qu’il n’était plus depuis quelques heures. Lui revint également les paroles de cet auteur : les meilleurs récits sont ceux que le créateur a expérimentés. Poussé par cette idée, aveuglé par ce besoin de sang, il vida sa jeune sœur de tout ce liquide de vie, se rassasiant complètement, retrouvant son inspiration, prêt à écrire des pages et des pages. Et rien n’aurait été différent si ses parents n’avaient pas assisté à la scène. Horrifiée, sa mère s’était écroulée, son père c’était figé. Ils allaient assister à leur propre mort. Leur fils ne pouvait les laisser vivre après qu’ils aient vu une telle chose. Alors Ishimaru les tua, tous les deux, se délectant de tout ce qu’il pourrait tirer de ces meurtres pour écrire, fait vivre son art.
Mais la nouvelle de la tuerie chez les Amane se répandit rapidement, le Japon était un pays très densément peuplé. Voulant sauver sa peau, le nouveau vampire fuit les lieux du crime, puis, jugeant que cet acte n’était pas suffisant, quitta le pays de ses origines.
Il passa par tant de villes, visita tant d’endroits fabuleux, tua tant d’innocents, écrit dans de romans…
Sa dernière escale ? Londres, où il prévoit rester pour quelques années encore. On dirait que cette ville lui plait bien, allez savoir pourquoi… Peut-être es-ce la présence de plusieurs de ses semblables vampires qui le retient ici…
[Enfin, terminé... Bravo à ceux qui ont lu jusqu'a la fin. ^_^] | |
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